avril, 2014
Une partie d’Amsterdam sans échecs.
Posté le 27. Avr, 2014
D’Amsterdam je ne savais rien. Sinon qu’on y vendait des herbes interdites, et qu’on pouvait louer les services de filles derrière des vitrines.
Of Amsterdam, I knew nothing. Except that you can buy there forbidden herbs, or rent the services of girls sitting in shop windows.
Que de clichés, quand on ne connait pas… So many clichés, when you don’t know…
En fait, là bas, les vitrines sont un mode de vie. Les gens n’ont pas de rideaux aux fenêtres : tradition religieuse Calviniste, destinée à montrer qu’on a rien cacher, aucun péché. Et puis il n’y a pas que la chair, qui est exposée. La chère l’est aussi…
Shop windows are a lifestyle. People have no curtains in windows : it’s a Calvinist religious tradition intended to show that people have nothing to hide, no sin. Not only the flesh is exposed. The food is also shown…
A propos de (bonne) chère, un bon plan : le meilleur endroit pour déjeuner avec des enfants (ou sans, d’ailleurs), de la ville. Un concept sous forme de buffets ultra variés, qui coûte peanuts, et où tout est non seulement d’une fraicheur irréprochable, mais également bio ! Cocktails immenses de jus de fruits et de légumes pressés, salades magnifiques bourrées d’herbes et de graines, pizzas avec pâte réalisée devant vous, wok avec une recette par personne (vous choisissez chaque ingrédient), soupes sublimes, poissons grillés devant vous encore…
A good plan : the best restaurant in town for a lunch with (or without) children. Some sideboards ultra varied, which coast nothing, and where everything is not only of an irreproachable freshness, but also organic ! Cocktails of fruits and vegetables juices pressed, magnificent (and not oily) salads with herbs and seeds, pizzas with dough realized in front of you, wok with a recipe a person (you choose every ingredient), sublime soups, fishes roasted in front of you again…
La Place : Rokin 160, Amsterdam.
Le Vondelpark est un parc sublime, de style anglais, où l’on donne, certains soirs d’été, des concerts gratuits. Les oiseaux y foisonnent : cigognes, piverts, perroquets, hérons…
Vondelpark is a sublime park, of english style, where you can listen to free concerts, on summer evenings. Birds abound there : storks, green woodpeckers, parrots, herons…
… et même, pour ceux qui ont la chance de l’apercevoir, terrifiant monstre du lac avec son épée de bois. – … and even, for those who have the opportunity to see him, terrifying monster of the lake with his wooden sword.
A Amsterdam, le fléau, c’est le vélo. Les cyclistes sont tels des minotaures furieux, qui galopent à travers la ville… sans freiner. Peu importe que les feux soient verts, rouges, oranges ou violets à pois bleus, les vélos passent, et les piétons risquent de trépasser. Jamais je n’avais connu ce sentiment stressant d’être en alerte permanente à chaque pas. Les pistes cyclables ? Elles se confondent avec les trottoirs (souvent minuscules). Et on a beau regarder soigneusement à droite, à gauche, avant d’avancer, il y a toujours un vélo qui foncera sur vous par derrière, surgit de nulle part.
Heureusement, la ville est belle, et recèle des merveilles pour qui les remarque…
In Amsterdam, the plague, it’s the bike. The cyclists are like furious minotaurs, who gallop through the city without slowing down. No matters if the fires are green, red, orange or purple blue polka-dot, bikes pass, and the pedestrians risk the accident. I never knew this stressful feeling to be on permanent alert at every step. Bicycle paths ? They are mixed with pavements (often tiny). And you may look carefully to the right, to the left, before moving forward, there is always a bike which will charge at you from behind, appears from nowhere.
Fortunately, the city is beautiful, and shows marvels to whom notices them…
Petit homme à la scie, sur une branche d’arbre.
Little man with a saw, on a branch of tree.
Rembrandtplein (place de Rembrandt – square of Rembrandt)
Jodenbuurt (quartier Juif – Jewish quarter)
Bloemenmarkt (marché aux fleurs – flower market)
Sandwich au hareng, qu’il faut avoir goûté – sandwich with herring, you have to taste this.
Amsterdam est une des villes qui comporte le plus de musées au monde. Maison d’Anne Franck, Musée Van Gogh, Musée Rembrandt… – Amsterdam is one of the cities that contains most museums of the world. Anne Franck’s house, Van Gogh Museum, Rembrandt Museum…
Coucher de soleil sur la ville – Sunset on the city
A cette période de l’année, la visite de Keukenhof, le plus grand parc floral du monde, était obligatoire : ce parc n’est ouvert que huit semaines par an, les fleurs étant à leur apogée entre la mi-avril et la mi-mai. Un tout petit aperçu, tant c’est spectaculaire de beauté.
In this period of the year, the visit of Keukenhof, the biggest floral park in the world, had to be done : this park is opened only eight weeks a year, flowers being for their peak between the middle of april and the middle of may. A quite small overview, so much it’s spectacular of beauty.
La beauté est partout…
The beauty is everywhere…
Et puis, une fois terminée la visite du parc, on peut aussi louer un vélo. C’est moins dangereux qu’en ville, surtout si on se promène à travers les bois…
And then, once ended the visit of the park, you can also rent a bike. It’s less dangerous then in town, especially if you ride through wood…
Sans compter qu’on y rencontre les hollandais les plus mignons du coin !
Over and above the fact that you meet the cutest dutch guys of the corner !
Un saut à la ville d’Edam, que j’ai trouvé charmante, mais un peu trop paisible…
A jump in the city of Edam, which I found charming, but slightly too peaceful…
En revanche, coup de foudre absolu pour le petit village de Marken ! Situé sur une presqu’île, un côté « petit village de poupées », avec moutons qui bêlent et ambiance féérique. J’ai adoré.
On the other hand, love at first sight for the small village of Marken ! Situated on a peninsula, a side « small village of dolls », with sheeps which bleat and magic atmosphere. I adored it.
Même les oiseaux sont adorables ! – Even birds are adorable !
Les poffertjes, c’est la tradition. Et moi je goûte la tradition.
Poffertjes, it’s the tradition. And I enjoy the tradition.
Au bout du village, la plage… At the end of the village, the beach…
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Limontaigu : deux notes en une !
Posté le 14. Avr, 2014
Un bref résumé en images de mes rencontres les plus drôles, les plus sympathiques, les plus émouvantes ou les plus originales (d’accord, il manque plein de monde, pardon ! pardon !) lors de mes deux derniers Salons du livre : Lire à Limoges, et le Printemps du Livre de Montaigu.
Au Printemps du Livre de Montaigu, j’me suis vue déjà, en haut de l’affiche-euh (bon au milieu on va dire.)
Eh bien c’était rudement sympa !
… au moins autant que de déjeuner avec le gentil Xavier Milan, directeur de la communication interne au musée du Louvre (et auteur du « Testament Nefertiti », chez City)…
…Mais pas autant que de rencontrer l’inaltérable Marcel Amont (qui vient de publier « Lettre à des amis » chez Chiflet) !
Allez Marcel, nous sommes attendus pour le diner de gala à l’Historial (souvenez-vous, je vous avais déjà parlé de cet endroit fantastique : ici !)…
Et c’est Lorànt Deutsch (« Hexagone », chez Michel Lafon), président de cette nouvelle édition du Printemps du livre de Montaigu, qui vient nous accueillir.
(un de ces deux clichés a été photo-bombé par la belle Nathalie Kouyaté, je vous laisse trouver lequel…)
Le diner fut bien évidemment sublime. (Comme d’habitude à Montaigu, j’ai envie de dire, mais je risque de paraitre blasée !)
A table, on s’est extasiés sur le repas, avec Cyril Massarotto (« Le petit mensonge de Dieu », chez XO)…
Il y avait également son attachée de presse, l’adorable Anne Destombes-Larue (Cyril faisant une grimace sur la photo, et comme j’ai promis de ne pas montrer comment il louche, nous posons donc avec son bras !)
Le lendemain, j’ai participé à un café littéraire animé par Philippe Vallet (de France Info), en compagnie de Delphine de Malherbe (« A l’heure où les hommes vivent », chez Plon) et de Denis Westhoff (« Françoise Sagan, ma mère » chez Flammarion.)
Voila Didier Fourmy (« les pétillantes », Hugo roman), directeur d’une des plus grandes agences de presse spécialisée dans la beauté…
(quoi, vous imaginez que je lui fais de la pub pour qu’il me file des produits de beauté gratos ? Pas du tout, je n’y avais même pas pensé, tsss…) 🙂
… beaucoup de rires avec lui et Nathalie Kouyate (« Mon enfer dans une famille d’accueil », aux éditions du Moment). Deux chouettes rencontres, vraiment.
Départ programmé, avec Eric Poupet (à droite, un de mes attachés de presse) et Xavier Milan, son compagnon…
… juste le temps d’une photo souvenir avec la ravissante Valentine Lenglet, attachée de presse chez Hugo et Cie.
Du coup… quelques clichés aussi, très vite, de Lire à Limoges, où il a fait une chaleur intenable. Heureusement, j’avais emporté mon arme secrète :
J’y ai croisé le charmant Laurent Bénégui (« J’ai sauvé la vie d’une star d’Hollywood », chez Julliard)…
…et mon premier coup de coeur télévisuel, Mehdi El Glaoui (« la belle histoire de Sébastien », chez Michel Lafon), accompagné de sa femme, la délicieuse comédienne Virginie Stevenoot.
Big émotion !
(Un clin d’oeil à Lionel et à Alfred, mes fidèles complices pour cette photo !)