Témoignage dans le Cosmopolitan de novembre…

Posté le 08. Oct, 2009

…dans un dossier sur le thème « Ce que j’ai appris de l’argent ».
Mélange de témoignages de peoples et d’anonymes, et voici le mien :

cosmo nov 09

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Héhéhé !

Posté le 02. Oct, 2009

Trop dingue, comme situation.
J’ai déjeuné avec mon-premier-fan-dont-je-suis-la-première-fan !
L’écrivain Thierry Cohen.
thierry-cohen-et-moi1

Va  falloir que je m’habitue à le côtoyer, vu qu’on va marier nos enfants ensemble.
Il faut juste qu’on les prévienne.
Et qu’ils atteignent l’âge légal.
Et aussi qu’ils soient d’accord.
Bref, trois fois rien.
Mais sinon, nous, on est partants. 🙂

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Parents, et maman.

Posté le 11. Août, 2009


Ce mois-ci (dans le numéro de septembre), le magazine Parents m’a offert sa « Carte Blanche » dans un dossier consacré aux modes de garde.
J’y révèle une manie dont je n’avais jamais parlé à personne….

carteblancheparents

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Dédicace chez Michel !

Posté le 31. Mai, 2009

Samedi, j’ai dédicacé dans la librairie de Michel, un garçon adorable.

librairie michel 1

Merci à tous ceux qui sont passés !

librairie michel 2

Ici, je suis avec la jolie Christel Ilardo, une copine de seconde au lycée, qui m’a fait le plaisir et la surprise de passer me faire un coucou.

Et comme le librairie, Michel Bartoli, fêtait ses 40 ans ce samedi….

librairie michel 5librairie michel 6

… je lui ai fait un petit crobard ! :))

Merci à la librairie Album, 36 avenue des Ternes, 75017 Paris, pour son superbe accueil !

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Salon du livre Lire à Limoges 2009

Posté le 05. Avr, 2009

Gare d’Austerlitz, à 8h, je me perds dans la contemplation d’un olivier, planté là, devant les quais, sur lequel une nuée de mésanges n’attendent pas le train, les veinardes.
mesanges quai

Un texto de ma copine Lorraine Fouchet m’indique qu’elle file dans un taxi, tandis qu’un coup de fil affolé de mon autre copine Tatiana de Rosnay m’informe qu’elle ne s’est pas réveillée à temps, avec le bruit des rails en arrière-plan sonore.
J’adore quand le 1er avril dure quelques jours de plus….

Allez, hop ! Ma copine Barbara Constantine nous rejoint, et en route dans notre train Corail pour trois longues et cahotantes heures de trajet jusqu’à Limoges…

…Où nous sommes accueillies, en arrivant sur notre stand, par une nuée d’applaudissements.
« Enfin !! » hurle la foule, éperdue de bonheur, en lançant des cotillons.
« Vive Tatiagnès !! » (les clameurs s’entremêlent) scandent les lecteurs qui nous aperçoivent, en entamant une petite gigue locale.
« Le salon du Livre de Limoges est désormais ouvert !! » crie, tremblant d’émotion, le maire de la ville dans son mégaphone, pointant la main avec fierté dans notre direction.

Agnes Abecassis et Tatiana de Rosnay

Simples et accessibles, nous accordons aux photographes de presse le droit de nous immortaliser, pour que le bonheur des badauds qui nous encerclent soit partagé par les milliers de malheureux qui n’ont pu se déplacer jusqu’à nous.
Faut pas être égoïste.

lecteurs limoges 2009

Didier le Fur, plus malin que les autres, est parvenu à se glisser entre les grilles de sécurité et à échapper à la vigilance des gardes du corps, pour témoigner toute l’admiration qu’il vouait à son auteur préféré.
didier et tatiana

Le soir, Didier le Fur qui avait réussi à se faire placer à notre table en soudoyant le maitre d’hôtel (ou alors il n’y a jamais eu de maître d’hôtel, et dans ce cas un billet de 20 euros se promène dans la poche d’un inconnu vêtu d’un smoking qui passait juste au bon moment en se rendant à la Bar-Mitzvah de son neveu), m’a négligemment demandé mon âge.

Quand j’ai répondu : « tout juste 37 ans », il s’est écrié, la voix vibrante de sincérité spontanée et premier degré « tu rigoles ?! Mais je t’en donnais exactement 10 de moins !! »
Grisée par mon unique gorgée de champagne et de crème de cassis (je supporte très mal les mélanges d’alcool) je me jetais alors à son cou pour lui témoigner tout le plaisir que son objectivité m’inspirait.
rouge a levres didier

Eh oui, on est comme ça, entre nous, les people.
On s’embrasse sans arrêt.
(Entre autres).

Le lendemain, sous la tente, il a fait une chaleur étouffante.
Barbara Constantine n’en pouvait plus, du coup elle a carrément envisagé de se faire un bain de foule de midi.
barbara chaud rose
Quant à Lorraine Fouchet et moi, nous avons entammé un concours de tee-shirt mouillés qui a, comment dire, rapidement provoqué une rupture de stock de l’intégralité des livres de tous les auteurs présents sur le stand où nous nous trouvions.
lorraine et moi bouteilles eau
Merci qui ?

…………………

Edit : Karine, une adorable lectrice Limogeoise…heu, Limougène…bref, de Limoges, passe chaque année au salon, et elle est si gentille, que c’est un grand plaisir de la revoir !
Elle m’envoie ensuite les photos que nous avons faites ensemble, alors cette fois, allez hop, je les montre carrément ici !
karine lectrice1karine lectrice 2karine lectrice 3

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Salon du Livre Montaigu 2009

Posté le 30. Mar, 2009

Le soir, dîner à la Chabotterie, un restaurant étoilé au Michelin.
Je m’auto-promets de bien me tenir, et de ne surtout pas réitérer les bêtises de l’année dernière, avec Alonso. D’autant que cette année, Alonso n’est pas là. Et c’est pas drôle d’avoir douze ans quand son autre copine de douze ans n’est pas dans les parages.

Alors, sagement, je déambule en compagnie de Robert Castel, avec lequel il est pratiquement impossible de papoter tant il me fait hurler de rire. Improvisation totale, second degré absolu, magnifique et excellent comédien.

Robert Castel


A ma table ce soir, il y a ma copine Delphine, attachée de presse chez Fayard, une fille complètement déjantée que j’ai rencontrée à midi et qui s’appelle Abla Ababou, Marion, attachée de presse aux éditions du Rocher, et l’inénarrable Gordon Zola.

gordon zola montaigu

Seulement voila.
Il y a aussi…..

verre plein vin

………ça.
Et ça, c’est très exactement la dose de vin que je me suis accordée.

verre vide vin

……….hop.

Moi qui ne bois jamais.
Et qui était à jeun.
Gloups.

Il n’en a pas fallu plus que je me transforme illico en une chose verte, échevelée et gloussante, l’eye-liner suintant de larmes de rire, les abdos prêts à céder sous la pression du diaphragme, misérable écroulée suffocante sur l’épaule de Delphine.
Gordon Zola nota que je lui rappelais le personnage de Nadia, dans le film « Boire et déboires », normal en apparence mais qui pête un câble dès qu’elle croise une goutte d’alcool.

Il n’avait pas fini sa phrase qu’il se prenait une boulette de mie de pain dans la bouche.

boulettes pain

La guerre était déclarée.
Gordon Zola se retrancha courageusement derrière Marion, tandis qu’Abla tenta de marquer un panier sur ma lentille.

abla prise en flag

(Abla, prise en flag’ !)

ayeuh

(Aïïïe-euh !)
Abla, pragmatique, shoote mes lancers pour comprendre comment j’arrive à envoyer les boulettes que je lui destine directement dans l’oeil de Gordon Zola.

abla shoote


La réponse est simple : je vise très approximativement.

delphine et moi rire


Série de photos absolument inmontrables, donc coupées de partout, rabotées, censurées, et mises en toute petites, où nous…
…ben tiens, devinez ce qu’on fait, hein, justement.

regards p 1

regards p 2

regards p 3

Bon.
La réponse était : on tente de réaliser les regards les plus poufs possible.

Entre Abla et sa bouche en cul de poule, moi et mon eye-liner qui part visiter la ville, et Delphine et sa mono-expression, je crois effectivement qu’il est temps d’aller nous coucher.

Délicieuse soirée où nous nous tapons 40 minutes de car pour retourner à l’hôtel, à minuit, avec deux auteurs bourrés (pour de vrai, ceux là) prévenant alternativement qu’ils risquent peut-être de vomir sur la tête des passagers, qui « chantent » à tue-tête, ou qui vont demander au chauffeur si c’est encore loin, le Mercure (40 fois.)
Delphine m’a retenue d’en assommer un qui passait près de moi à coups de sac à main, mais je jure que j’ai bien failli.

C’est d’ailleurs avec cette fille adorablissime que je suis allée me prendre un dernier verre, noyant dans l’alcool de nos Ice Tea light nos mélancoliques pensées (« les hommes tous des cons, au fait j’adore ton petit pull tu l’as acheté où ? »)

Dodo à trois heures et demie du matin (merci le changement d’horaire, sinon il était à peine deux heures et demie), et réveil en sursaut à huit heures, par un coup de fil de ma mère qui voulait me prévenir qu’il y avait eu un changement d’horaire pendant la nuit (information qu’elle tenait de moi qui la lui avait donnée la veille), histoire que je ne rate pas mon train (que je prenais, donc, onze heures plus tard).
Voila-voila.

Quelques instants plus tard, emmitouflée dans mon manteau noir pour passer incognito, je croise un paparazzi dé mierda qui me shoote, en compagnie du ténébreux Antonin Malroux (qui se voulait discret, lui aussi), alors que nous tentions de nous esquiver ni vu ni connu de l’endroit où nous avions passé la nuit.
Oui, bon, quoi, on a passé la nuit dans le même hôtel, et alors ?
Et allez, ça va encore faire jaser, cette histoire……

antonin mercure

Le dimanche, c’est reparti pour une journée de marathonage de mes doigts.
Je m’échappe dans l’après-midi pour aller faire le salon-buissonnier en compagnie de ma désormais meilleure amie Delphine, fuyant quelques instants la chaleur étouffante, les bruits et la foule de notre habitat du week-end.

Le coin immédiat (juste derrière le salon) est trop trop joli… du coup, nous en profitons pour explorer la jungle qui le compose, avec plein de pierrasses super dangereuses à escalader. Comment ça me rappelle trop le temps de mes ascensions intrépides des hauteurs interdites des Buttes Chaumont, quand j’étais un microbe d’élève de sixième. Allez, la sixième c’était hier !

J’y vais : Je monte !
………ou pas.

agnes escalade montaigu

Delphine, elle, n’hésite pas une seconde.
Pff.
Tête brulée, va.

delphine intrepide

delphine intrepide 2

(Oui, bon, j’ai fait le tour, et alors ?)

Journée qui s’est magnifiquement terminée, avec la visite de Dom, ma maquettiste préférée à moi, la plus gentille, et de son amie la douce Céline, (et je ne dis pas ça pour la tuerie de caramels au beurre salé, confectionnés par le meilleur ouvrier de France, que Dom m’a apporté !)

dom celine 1

(Dom est en gris, Céline est en marinière)

…et puis la belle Aïda est passée m’interviewer, aussi.

aida montaigu

Trop un plaisir de la revoir !

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